Mêler sa passion pour l’art avec le récit de gros dossiers pénaux du Val-d’Oise ? C’est chose faite avec le livre Crimes sur Toile, paru aux éditions La Sirène aux Yeux Verts, de Frédéric Aguillon, avocat pénaliste exerçant dans le département.
Me Frédéric Aguillon, conseil du prévenu, précise que les gendarmes ont relevé 6 photos douteuses… Sur les quelque 780 photos du téléphone. « À Disney, c’était les enfants qui ont pris ces photos », ajoute T.
Nous sommes dans le cadre d’un litige civil, c’est un problème de dol, de vice de consentement », a estimé Me Frédéric Aguillon, pour qui le dossier ne relevait pas du pénal. Selon lui, les prévenus travaillaient vraiment proprement sur les voitures et ne se sont jamais présentés comme des professionnels aux acheteurs.
Son avocat, Me Frédéric Aguillon, avait auparavant souligné le contexte d’un alcoolisme pathologique en évoquant la grande misère sociale « de cette petite communauté du parking du centre commercial… », invitant le tribunal à prendre en compte ces parcours de vie : « Comment on échoue là ? Ce n’est pas un choix de vie. »
Lors de sa garde à vue, il avait reconnu avoir sectionné les freins de la voiture de son épouse mais avait nié toute volonté de tuer. « Il souhaitait immobiliser la voiture », qui « cristallisait sa rancoeur », a fait valoir son avocat, Me Frédéric Aguillon.
« C’est un jugement qui se veut exemplaire mais c’est un mauvais exemple. On est certes sur des violences sur agents de la force publique, mais on n’a jugé qu’un faible échantillon sur cet ensemble d’émeutiers qui a été estimé à environ 300 », a dit Frédéric Aguillon, un des avocats des prévenus.
L'accusé, au moment des faits, était « à bout », assure son avocat, Me Frédéric Aguillon, qui évoque « une situation conjugale difficile ». L'accusé avait quitté Thonon (Haute-Savoie) en septembre 2010 pour venir s'installer avec sa nouvelle épouse, mère de deux adolescentes nées d'un premier mariage.
Lors de sa plaidoirie, Me Frédéric Aguillon, l’avocat de sept parties civiles, avait décrit le processus de « rupture avec la famille », « la perte d’esprit critique » ou encore « l’engagement dans un processus d’endettement » qui constituent « quasiment tous les critères d’une dérive sectaire ».
Une enquête préliminaire avait été ouverte après le dépôt d’une première plainte en janvier 2017, suivie de cinq autres. Lors de sa garde à vue, le fonctionnaire a contesté les faits qui lui sont reprochés, dont au moins deux sont « très anciens et sans doute prescrits », a indiqué à l’AFP son avocat, Me Frédéric Aguillon.
L’avocat de la défense, Me Frédéric Aguillon, a plaidé une agression survenue « dans un contexte de débordement émotionnel » d’un homme en proie à des difficultés professionnelles et au sein de son couple, venant de vivre le décès d’un proche. Un homme qui a subi le bruit de son voisin « au quotidien, tous les soirs, toutes les nuits ». Et obtenant enfin le nouveau logement recherché deux jours après les faits.
Me Frédéric Aguillon, qui défendait le jeune ayant porté les corps, a regretté les réquisitions identiques de l’avocat général pour quatre accusés, invitant la cour « à faire preuve de discernement ».
« Nous pouvons nous présenter au tribunal en passant par le PC sécurité, à condition de justifier de notre qualité d’avocat et de préciser notre démarche, que ce soit pour relever notre courrier ou le cas échéant pour un contentieux urgent. »
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